LE MONDE DES LA TREMOILLE
DANS LE PREMIER XVIIe SIECLE

 

Correspondances de Daillé père et fils

 

 

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Correspondance de Jean Daillé père (1594-1670), ministre de Charenton à André Rivet, Théodore et Louis Tronchin et François Turrettini. Jean Daillé fut le plus prestigieux ministre de Charenton au milieu du XVIIe siècle, dans cette correspondance couvrant les années 1624 à 1670 il est étonnamment peu prolixe sur Marie de La Tour d’Auvergne dont il fréquentait pourtant l’hôtel à Paris.

 

Daillé père

 

Correspondance de Jean Daillé fils (1628-1690) à Louis Tronchin et François Turrettini. Jean Daillé fils, moins connu que son père, ministre à La Rochelle puis à Charenton, livre un témoignage intéressant sur l’histoire du protestantisme dans les quarante années précédant la Révocation de l’Edit de Nantes. Une de ses lettres révèle pourquoi Marie de La Tour d’Auvergne est bannie de l’histoire du protestantisme parisien, c’est parce qu’elle protégea le ministre Alexandre Morus dont les talents oratoires devaient porter ombrage à Daillé père et fils.

 

Daillé fils

 

Samuel Petit (1594-1643), un des pasteurs de Nîmes, professeur à l’académie de cette ville, fut un des correspondants d’André Rivet. Il fut aussi le correspondant du prince des érudits de ce temps Nicolas-Claude Fabri de Peiresc (1580-1637). Le lecteur trouvera ici les correspondances de Samuel Petit à ces deux érudits qui se complètent.

 

 

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2013